13 octobre 2007

Philippe Moureaux réélu à la tête du PS bruxellois

Willy Demeyer candidat à la vice-présidence du PS

Willy Demeyer, bourgmestre de Liège réélu samedi président de la fédération liégeoise du PS, pourrait aussi être candidat à la vice-présidence nationale du PS, rapporte lundi La Meuse. Le 12 novembre prochain, on connaîtra les noms des vice-présidents nationaux du PS, chargés d'assister Elio Di Rupo, président national. L'un des vice-présidents sera bruxellois, l'autre wallon. Michel Daerden, Jean-Claude Marcourt et Alain Mathot s'associent pour soutenir la candidature de Willy Demeyer au poste de vice-président wallon. "Si on me le demande, je le ferai", a déclaré le bourgmestre de Liège, réélu samedi président de la fédération liégeoise du Parti socialiste. (belga)

Willy Demeyer rempile à la tête du PS liégeois

Le bourgmestre de Liège Willy Demeyer a été réélu samedi au poste de président de la fédération liégeoise du Parti socialiste, avec un score de 91,4%

Philippe Moureaux a été réelu avec 83,5% des voix.

Philippe Moureaux a été reconduit dans sa fonction de président de la Fédération bruxelloise du PS par les délégués de section réunis en congrès jeudi soir, mais il a indiqué qu'il quitterait cette fonction avant l'échéance du mandat de 4 ans qui lui a été accordé. Agé de 68 ans, le patron de la Fédération bruxelloise a été réélu par 83,5% des votants. Il a précisé aux 300 à 400 participants au congrès qu'il se présentait à sa propre succession pour assurer une transition dans la vie de la Fédération. Le congrès a également procédé à plusieurs autres élections internes.

C'est le chef du groupe socialiste au parlement bruxellois, le bourgmestre d'Evere Rudy Vervoort, qui a été élu à la vice-présidence. Laurette Onkelinx, ministre de la Justice sortante, a été élue à l'unanimité au poste de déléguée à la présidence, chargée de plancher sur la modernisation des structure. Corinne Désir sera déléguée en charge des relations avec les élus locaux.
Le député Rashid Madrane a été désigné pour gérer la politique de communication de la Fédération. Le congrès a également élu ses représentants au bureau du parti. Il s'agit d'Alain Hutchinson, Jamal Ikazban, Yvan Mayeur, Anne Mouzon, Laurette Onkelinx et Eric Tomas. (belga)

Flahaut élu à la présidence PS du Brabant wallon

Le ministre de la Défense, André Flahaut, a été élu samedi à la présidence de la fédération socialiste du Brabant wallon avec 84,5 % des voix, indique la fédération dans un communiqué diffusé samedi soir. Sa candidature a été présentée par la section de Nivelles, dont il fait partie, mais aussi par cinq autres sections locales. M. Flahaut était le seul candidat et sa candidature avait été présentée par la section de Nivelles, dont il fait partie, mais aussi par cinq autres sections locales. (belga)

Didier Donfut rempile à la tête du PS montois

Le ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Didier Donfut a été réélu samedi à la présidence de la fédération socialiste de Mons-Borinage avec 80,9% des voix, a indiqué le secrétariat de la fédération. Le Framerisois était seul candidat à sa succession. La sénatrice de communauté Joëlle Kapompole, également seule candidate, a emporté la vice-présidence avec 75,5% des voix. Les représentants de la fédération au bureau du PS, outre Didier Donfut, seront Éric Thiébaut, député fédéral et bourgmestre d'Hensies, et Camille Dieu, députée fédérale. A côté de ces élections au niveau fédéral, l'Union socialiste communale de Mons a aussi élu samedi son nouveau président, l'ex-conseiller communal Luc Allart, mais plusieurs recours en annulation sont prévus, précise la fédération. (belga)


"La section d'Elio Di Rupo bafoue les statuts du PS"

L'Union socialiste communale (USC) de Mons, celle-là même où est inscrit le président du parti Elio Di Rupo, ne respecterait pas les statuts du PS, a affirmé mercredi l'ancien bourgmestre montois Maurice Lafosse qui se base sur une décision de la commission de vigilance de la fédération socialiste de Mons-Borinage. Le 30 octobre, cette commission a donné raison à son recours contre une modification des statuts de l'USC de Mons, votée en assemblée générale le 20 septembre. Cette assemblée générale n'avait réuni que 60 à 65 membres sur 3.400, fulmine Maurice Lafosse.L'une des modifications mises en cause imposait que les candidats à la présidence de l'USC se présentent en ticket avec deux vice-présidents. Or, les statuts fédéraux du PS ne prévoient aucune autre restriction, pour cette élection, que deux ans d'affiliation au parti, commente l'ancien bourgmestre.. Maurice Lafosse affirme encore que plusieurs personnes qu'il a contactées pour figurer sur sa liste ont fini par se désister, par crainte de représailles. L'élection du président de l'USC doit avoir lieu samedi, de même que celle du nouveau président de la Fédération de Mons-Borinage. (belga)

Un rapport contre Di Rupo au Parlement wallon
Même s'il a mis fin à sa croisade contre Elio Di Rupo, redevenu bourgmestre en titre, Luc Leens vient de remettre un rapport au Parlement wallon sur les irrégularités qu'il aurait constatées durant l'empêchement du bourgmestre. Ce "citoyen montois", comme il se présente, accusait depuis un an l'ex-ministre-président wallon d'exercice illégal de la fonction de bourgmestre pendant sa présidence.Cas exemplaireLe 2 octobre, la commission des affaires intérieures du Parlement wallon entreprendra d'évaluer le Code de la démocratie locale. "Avant de clôturer définitivement mon combat, il me paraît utile d'éclairer les députés sur le cas exemplaire de l'application de cette loi à Mons durant l'empêchement de M. Di Rupo", explique Luc Leens.Mesures à prendreLe rapport, qui compte 35 pages et de nombreuses annexes, est structuré en trois grands thèmes: la répartition des compétences entre les bourgmestres de Mons, l'action de la tutelle régionale et, en guise de conclusion, "les mesures à prendre pour éviter la répétition de ces irrégularités".Wallonie maladeBien qu'il n'ait pas obtenu satisfaction de la tutelle régionale, auprès de laquelle il avait introduit plusieurs recours, Luc Leens se félicite d'avoir atteint trois objectifs "non négligeables": démontrer que "c'est M. Di Rupo qui exerçait toutes les fonctions mayorales malgré son empêchement." Mais aussi, "montrer que, malgré tous les beaux discours sur la rénovation, la Wallonie est toujours gravement atteinte par le mal wallon, fait de cumul de fonctions, conflit d'intérêts, estompement de la norme, politisation des services publics, etc." Et enfin, "que le citoyen peut lui aussi jouer un rôle dans l'amélioration de la gouvernance en Wallonie, même avec des moyens modestes", conclut Luc Leens. (belga)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

en avant la rénovation !